Qui a dit que l’alimentation de qualité était forcément plus chère ? La cantine de Romainville contredit les idées reçues en s’étant convertie au bio, local et fait maison. Un exemple qui fait aujourd’hui des émules.
Vous habitez à plus d’un kilomètre d’un commerce d’alimentation ? Vous êtes peut-être dans une “zone blanche alimentaire”. Une situation aux conséquences potentiellement néfastes sur la santé, que le département de la Seine-Saint-Denis tente d’évaluer et de résoudre.
Depuis septembre, le département de la Seine-Saint-Denis expérimente la Sécurité sociale de l’alimentation, en proposant aux plus précaires de financer leurs achats alimentaires. Alors qu’une proposition de loi vise à étendre ce type d’expérimentations, transonore dresse un premier bilan.
À Pantin, en Seine-Saint-Denis, un lieu alternatif embaume la rue depuis maintenant plus de deux ans. La Butinerie, maison du bien vivre alimentaire, propose des ateliers de cuisine gratuits ainsi que des déjeuners et brunchs à prix libres.
Avec ses vidéos engagées et pédagogiques, Charles Merlin, alias “Vivre Moins Con”, vulgarise, depuis deux ans, l’actualité sur les réseaux. A mi-chemin entre engagement écologique et critique sociale, le créateur de contenu porte un regard lucide sur les défis de notre époque et nous invite à passer à l’action.
A quelques pas de la Basilique de Saint-Denis, la coopérative PointCarré est devenue en quelques années un incontournable du territoire. Boutique, café et chantier d’insertion, ce tiers-lieu fait cohabiter créativité, solidarité et engagement écologique.
Durant 8 semaines, des habitantes du Pré Saint-Gervais apprennent à faire du vélo avec l’association parisienne Cyclavenir. Leur objectif ? Arriver à pédaler seules en ville. Un apprentissage synonyme de fierté, d’autonomie et de solidarité féminine.
Pourquoi la pratique du vélo peine toujours à se développer chez les femmes ? Stéréotypes, sécurité, charges mentales… En Ile-de-France, des collectifs féministes tentent d’instaurer un meilleur partage de la route.
Mathieu Safa, éco-concepteur de 28 ans, donne la possibilité aux jeunes de fabriquer un jeu de société du début à la fin, en produisant le moins de déchets possibles et en partageant toutes les notices gratuitement sur internet. Une inspiration pour imaginer les jeux de demain.